Repose, mon amie, dans ce velours nocturne,
Où les étoiles tissent ton nouveau nom.
Tes pas ont cessé leur marche lourde,
Et ton sourire, doux phare, demeure en mon cœur.
Tu as franchi la porte où les souffrances s’éteignent,
Là où le silence caresse les vers invisibles.
Les douleurs qui liaient ton souffle se dissolvent en lumière,
Et ton esprit s’épanche dans l’infini, libre et serein.
Je te vois, parmi les constellations,
Alors je serre ta mémoire en bouquet d’étoiles,
Que la douleur se transforme en paix qui ne s’éteint jamais.
